A la suite des incidents qui ont marqué l’été, le gouvernement a pris des mesures pour faire évacuer des terrains occupés illégalement par des populations diverses et en particulier des Roms. On peut bien sûr critiquer ces mesures et la manière dont elles ont été conduites. Il n’en reste pas moins que le gouvernement a une mission de faire respecter l’ordre public. La montée de l’insécurité dans certaines banlieues montre que les pouvoirs publics en France s’acquittent médiocrement de cette responsabilité. Les propos vigoureux articulés par des mâchoires énergiques cèdent le pas à un laxisme bonasse au niveau de l’application.
A cent lieues de ces problèmes qui le dépassent, le Parlement européen vient « d’ordonner » (sic) à la France de renoncer à l’expulsion des Roms. Cette démarche est stupéfiante. Le Parlement européen n’a aucune responsabilité en matière d’ordre public qui relève exclusivement des pouvoirs exécutifs. L’intervention de ce Parlement relève donc d’une spécialité bien connue dans les instances de Bruxelles : la politique de gribouille. Mais un des premiers responsables de cette dérive n’est autre que Nicolas Sarkozy lui-même qui contournant un vote référendaire a fait adopter par une classe politique pusillanime et complaisante un traité de Lisbonne qui asservit la Frances aux institutions de Bruxelles.
Il existait au Moyen Âge des cages de fer qui n’étaient pas réservées au menu peuple mais qui pouvait accueillir aussi des personnages importants. Par ignorance des réalités européennes et par une confiance excessive dans son expertise pour dominer les problèmes, Nicolas Sarkozy s’est laissé enfermer dans la cage de fer que l’Union Européenne réserve aux pouvoirs nationaux. Certes la cage construite par l’Union Européenne est moins dure que ses devancières du Moyen Âge et nous nous en félicitons pour le confort du Président. Mais la liberté de notre chef de l’Etat est réduite à peu de chose.
La France ne reviendra un pays indépendant qui si elle se libère de la prison de l’Union Européenne. Nicolas Sarkozy n’est certainement pas l’homme en capacité de relever ce défi.
A cent lieues de ces problèmes qui le dépassent, le Parlement européen vient « d’ordonner » (sic) à la France de renoncer à l’expulsion des Roms. Cette démarche est stupéfiante. Le Parlement européen n’a aucune responsabilité en matière d’ordre public qui relève exclusivement des pouvoirs exécutifs. L’intervention de ce Parlement relève donc d’une spécialité bien connue dans les instances de Bruxelles : la politique de gribouille. Mais un des premiers responsables de cette dérive n’est autre que Nicolas Sarkozy lui-même qui contournant un vote référendaire a fait adopter par une classe politique pusillanime et complaisante un traité de Lisbonne qui asservit la Frances aux institutions de Bruxelles.
Il existait au Moyen Âge des cages de fer qui n’étaient pas réservées au menu peuple mais qui pouvait accueillir aussi des personnages importants. Par ignorance des réalités européennes et par une confiance excessive dans son expertise pour dominer les problèmes, Nicolas Sarkozy s’est laissé enfermer dans la cage de fer que l’Union Européenne réserve aux pouvoirs nationaux. Certes la cage construite par l’Union Européenne est moins dure que ses devancières du Moyen Âge et nous nous en félicitons pour le confort du Président. Mais la liberté de notre chef de l’Etat est réduite à peu de chose.
La France ne reviendra un pays indépendant qui si elle se libère de la prison de l’Union Européenne. Nicolas Sarkozy n’est certainement pas l’homme en capacité de relever ce défi.
ILS ONT FAIM !
RépondreSupprimerIls ont faim Madame Reding ! Et la Commission Européenne dont il est dit que vous êtes un poids lourd indéboulonnable, n’a absolument rien fait depuis maintenant des décennies pour respecter à leur égard ce droit fondamental, imprescriptible et inaliénable, dont il serait bon qu’il fut le premier pour lequel vous déviriez vous battre, qui est celui de tout être humain de pouvoir s’alimenter et de vivre dignement dans ses meubles, sans être obligé d’aller mendier la nourriture de sa famille à l’étranger.
Ils ont faim Madame Reding ces millions d’êtres humains que vous oubliez dans la défense de leur premier droit fondamental.
Ils ont faim Madame Reding ces millions d’êtres humains des pays du tiers monde ou des pays ex-communistes où la Commission Européenne a englouti des milliards en pure perte, pour les aider : pour les premiers à finir ce que nous avions entrepris pour leur développement avant d’être chassés, et pour les autres à réparer les immenses dégâts du communisme.
Ils ont faim Madame Reding les premiers, encore plus que lorsque nous sommes partis, parce que l’aide que vous auriez dû leur apporter depuis a été ruineuse pour nous et inefficace pour eux, et les a tous ramenés dans une situation de famine, leur pays étant incapable d’assurer le minimum d’autosuffisance alimentaire.
Ils ont faim Madame Reding et sont condamnés depuis des années à recourir à la charité publique infamante, celle du programme alimentaire mondial, ou pour une infime minorité à venir chercher chez nous dans des conditions déplorables ce que nous étions en train de mettre en place chez eux lorsque nous avons été chassés.
Ils ont faim Madame Reding les autres, parce que les actions imbéciles, lamentables, stupides, inqualifiables devrais-je dire, menées dans les Pays de l’Est au titre des programmes PHARE ou TACIS ont ramené l’économie de ces pays à un niveau plus bas que ce qu’il était pendant la période communiste.
Ils ont faim Madame Reding au point qu’une très infime minorité des plus malheureux, de Bulgarie et de Roumanie entre autres, sont obligés de venir mendier chez nous parce que vous n’avez pas su faire respecter les droits fondamentaux du citoyen dans leur pays d’origine.
Ils ont faim Madame Reding, mais au lieu de faire en sorte que tous sans exception soient correctement nourris, soignés et éduqués dans leur pays, vous exploitez cette misère à des fins politiques, et entendez régler un compte à des pays qui ne pouvant accueillir toute la misère du monde, entendent n’en accueillir aucune, et préfèreraient que le problème fut réglé dans le pays de ces malheureux, au risque sinon qu’ils restent de perpétuels mendiants errants.
Ils ont faim Madame Reding, Non ! Pas ces chefs d’Etats ou fonctionnaires européens bien nourris et parfaitement endimanchés, qui pour les premiers préférèrent, il y a peu, les pitreries de Copenhague au Sommet de la FAO à Rome afin de ne pas entendre l’appel de ces affamés.
Ils ont faim Madame Reding tous ces petits enfants nus, qui tout près de chez nous meurent au rythme de dizaines par minute en nous jetant ce regard bouleversant de dignité où reste une toute petite lueur d’espoir.
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