Le premier tour des élections régionales, le 14 mars dernier, a confirmé la pertinence de la stratégie toujours préconisée par le Rassemblement pour l’Indépendance de la France (RIF) : l’union des souverainistes constitue le socle indispensable pour porter l’espérance d’une France souveraine, et libre de ses choix. Cette union qui n’a pu hélas se réaliser lors des élections européennes a pu trouver cette année un minimum de consistance grâce à l’alliance de trois composantes : le Centre National des Indépendants (CNI), Debout la république (DLR) et le Rassemblement pour l’Indépendance de la France (RIF) qui se sont regroupés dans des listes communes, dans tous les départements de la Région Île de France.
Les effets bénéfiques de l’union apparaissent à l’évidence. Alors que DLR, seule en lice lors des élections européennes n’avait pu franchir le seuil de 3%, les listes d’union dépassent cette année les 4% en Ile de France. Ce résultat peut paraître modeste. Il traduit pourtant une progression sensible et un réel capital de voix qui permet aux mouvements représentant la souveraineté nationale de sortir de la marginalité dans laquelle ils étaient cantonnés.
Les conditions précipitées de la réalisation de l’union n’ont pas permis à celle-ci de donner sa pleine mesure. Il est certain qu’une préparation plus approfondie aurait permis d’engranger une progression plus importante. Il faudra tirer les enseignements de cette expérience, non à des fins de critique mais pour accroître l’efficacité de nos engagements partagés. En effet, la lutte contre le système de l’UMPS ne s’arrête pas aux élections régionales ; elle doit s’élargir, s’amplifier, s’enrichir et se prolonger autant que nécessaire dans les consultations futures.
La faillite de la France sous l’autorité de Nicolas Sarkozy fait ressortir à quel point notre pays a besoin de retrouver son indépendance pour conduire une politique conforme aux intérêts de la nation et des citoyens. Cette exigence élevée nous conduit à refuser tout compromis avec un système qui porte la responsabilité du déclin. Il faut délivrer la France de ce carcan comme de celui d’une Union Européenne qui étouffe la liberté et le génie.
L’union des patriotes est la condition indispensable pour provoquer le sursaut et apporter le salut.
Les effets bénéfiques de l’union apparaissent à l’évidence. Alors que DLR, seule en lice lors des élections européennes n’avait pu franchir le seuil de 3%, les listes d’union dépassent cette année les 4% en Ile de France. Ce résultat peut paraître modeste. Il traduit pourtant une progression sensible et un réel capital de voix qui permet aux mouvements représentant la souveraineté nationale de sortir de la marginalité dans laquelle ils étaient cantonnés.
Les conditions précipitées de la réalisation de l’union n’ont pas permis à celle-ci de donner sa pleine mesure. Il est certain qu’une préparation plus approfondie aurait permis d’engranger une progression plus importante. Il faudra tirer les enseignements de cette expérience, non à des fins de critique mais pour accroître l’efficacité de nos engagements partagés. En effet, la lutte contre le système de l’UMPS ne s’arrête pas aux élections régionales ; elle doit s’élargir, s’amplifier, s’enrichir et se prolonger autant que nécessaire dans les consultations futures.
La faillite de la France sous l’autorité de Nicolas Sarkozy fait ressortir à quel point notre pays a besoin de retrouver son indépendance pour conduire une politique conforme aux intérêts de la nation et des citoyens. Cette exigence élevée nous conduit à refuser tout compromis avec un système qui porte la responsabilité du déclin. Il faut délivrer la France de ce carcan comme de celui d’une Union Européenne qui étouffe la liberté et le génie.
L’union des patriotes est la condition indispensable pour provoquer le sursaut et apporter le salut.
