La taxe carbone est bien un impôt de plus. Accompagné d’une usine à gaz de plus, afin de redistribuer une faible partie de cet impôt qui au final pénalise l’habitat dispersé de nos campagnes. La lutte contre la pollution aurait été plus efficace si elle avait pris la forme d’incitations aux économies d’énergie, comme l’aide à l’isolation des habitations ou le développement des transports collectifs. En fait, la taxe carbone et l’impressionnante machinerie qui l’accompagne n’ont été mises en œuvre que pour faire plaisir aux sollicitations d’un lobby. Mais on peut aussi s’interroger sur cette propension du Président de la République à s’accaparer les attributions de ses ministres voire du Premier ministre. A vouloir tout faire, Nicolas Sarkozy ne fait rien ou pas grand-chose. Il néglige l’essentiel, c’est-à-dire les grands intérêts de la France. La chute qu’il enregistre dans les sondages est une sanction de cet amateurisme. Et la chute n’est peut-être pas finie.
Le parti socialiste est un éternel donneur de leçons. Mais il serait inspiré de balayer parfois devant sa porte. Les fraudes qui ont marqué le congrès de Reims ne le qualifient pas pour se planter dans la posture du grand défenseur de la démocratie et de la morale.
Tous ces désordres donnent une piètre image de la classe politique alors que la France est confrontée à des problèmes considérables. La crise n’est pas finie et le chômage augmente.
Le parti socialiste est un éternel donneur de leçons. Mais il serait inspiré de balayer parfois devant sa porte. Les fraudes qui ont marqué le congrès de Reims ne le qualifient pas pour se planter dans la posture du grand défenseur de la démocratie et de la morale.
Tous ces désordres donnent une piètre image de la classe politique alors que la France est confrontée à des problèmes considérables. La crise n’est pas finie et le chômage augmente.
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